Bénévole : une espèce utile,
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Re
Bien dit mon ami et même excellent.
On devrait l'encadrer et l'afficher. Tu vois où ????? Pas en salle de réunion, il n'y a plus personne
Tu sais ces réunions (pas quotidiennes) mais celles où on est censé vôter des décisions alors qu'elles ont été prises avant.... et un petit comité de "yaqua".
Sinon, je suis content d'avoir de tes nouvelles et j'espère que tu vas bien.
On devrait l'encadrer et l'afficher. Tu vois où ????? Pas en salle de réunion, il n'y a plus personne
Tu sais ces réunions (pas quotidiennes) mais celles où on est censé vôter des décisions alors qu'elles ont été prises avant.... et un petit comité de "yaqua".
Sinon, je suis content d'avoir de tes nouvelles et j'espère que tu vas bien.
le boyau rouge- Bleu(e)
- Nombre de messages : 15
Date d'inscription : 26/03/2007
Re: Bénévole : une espèce utile,
il a eu une très bonne idée de reprendre ce texte, cela fait toujours du bien de le rappeler de temps en tempsstef a écrit:bien dit
miss rugby- Interessé(e)
- Nombre de messages : 45
Age : 50
Localisation : entre charpennes et chateau gaillard
Date d'inscription : 20/03/2007
Re: Bénévole : une espèce utile,
bien dit
stef- Interessé(e)
- Nombre de messages : 30
Date d'inscription : 19/03/2007
Bénévole : une espèce utile,
Le Bénévole (activus bénévolus) est un mammifère bipède rencontré surtout dans
les associations ; il peut s'y réunir avec ses congénères, suite à un signal caractéristique
appelé "convocation". Les bénévoles vivent aussi en petits groupes, dans divers endroits,
et ils se retrouvent quelquefois tard, le soir, le cheveu en bataille, discutant ferme sur
la meilleure façon d'animer une manifestation ou de faire des recettes supplémentaires
pour boucler un budget.
Le Bénévole utilise beaucoup le téléphone ; ça lui coûte du temps et de l'argent,
mais c'est encore le moyen le plus rapide pour résoudre différents problèmes posés au
jour le jour.
L'ennemi héréditaire du bénévole est le "yaqua" (nom populaire), dont les origines
seraient à chercher du côté de l'hexagone primaire. Le "yaqua" est lui aussi un
mammifère bipède, caractérisé par un cerveau très petit qui ne peut capter que deux
mots : "y'a qu'à". Il a des cousins ! Les "y faut qu'on", "y fallait que", "y avait qu'à", "y
z'aurait du"… et les "yapluqua", ayant la particularité d'être inaptes à se reconnaître.
D'autre part, ils souffrent parfois d'hypertrichose palmaire, une maladie qui se
caractérise par le développement exagéré des poils dans la paume de la main.
Le "yaqua" est virulent, surtout en groupe, au milieu des siens ; bien abrité dans la
cité anonyme, il attend le moment où les bénévoles feront une erreur, un oubli, pour
lancer son venin à l'effet redoutable : le découragement.
Les premiers symptômes de cette atteinte sont rapidement visibles ; absences de
plus en plus fréquentes aux réunions, intérêt croissant pour son jardin, sourire attendri
devant une canne à pêche et attrait irrésistible pour un fauteuil devant la télé.
Les bénévoles décimés par le découragement risquent-ils de devenir une espèce en
voie de disparition ? ? Vont-ils être parqués dans des zoos, avec le danger de ne plus
pouvoir se reproduire ?
Les "yaqua" et leurs cousins viendront alors leur lancer des cacahuètes et se
rappeler le passé relativement récent où le bénévole abondait dans la société civile,
municipale, ecclésiale et associative.
les associations ; il peut s'y réunir avec ses congénères, suite à un signal caractéristique
appelé "convocation". Les bénévoles vivent aussi en petits groupes, dans divers endroits,
et ils se retrouvent quelquefois tard, le soir, le cheveu en bataille, discutant ferme sur
la meilleure façon d'animer une manifestation ou de faire des recettes supplémentaires
pour boucler un budget.
Le Bénévole utilise beaucoup le téléphone ; ça lui coûte du temps et de l'argent,
mais c'est encore le moyen le plus rapide pour résoudre différents problèmes posés au
jour le jour.
L'ennemi héréditaire du bénévole est le "yaqua" (nom populaire), dont les origines
seraient à chercher du côté de l'hexagone primaire. Le "yaqua" est lui aussi un
mammifère bipède, caractérisé par un cerveau très petit qui ne peut capter que deux
mots : "y'a qu'à". Il a des cousins ! Les "y faut qu'on", "y fallait que", "y avait qu'à", "y
z'aurait du"… et les "yapluqua", ayant la particularité d'être inaptes à se reconnaître.
D'autre part, ils souffrent parfois d'hypertrichose palmaire, une maladie qui se
caractérise par le développement exagéré des poils dans la paume de la main.
Le "yaqua" est virulent, surtout en groupe, au milieu des siens ; bien abrité dans la
cité anonyme, il attend le moment où les bénévoles feront une erreur, un oubli, pour
lancer son venin à l'effet redoutable : le découragement.
Les premiers symptômes de cette atteinte sont rapidement visibles ; absences de
plus en plus fréquentes aux réunions, intérêt croissant pour son jardin, sourire attendri
devant une canne à pêche et attrait irrésistible pour un fauteuil devant la télé.
Les bénévoles décimés par le découragement risquent-ils de devenir une espèce en
voie de disparition ? ? Vont-ils être parqués dans des zoos, avec le danger de ne plus
pouvoir se reproduire ?
Les "yaqua" et leurs cousins viendront alors leur lancer des cacahuètes et se
rappeler le passé relativement récent où le bénévole abondait dans la société civile,
municipale, ecclésiale et associative.
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